Les Faits

Les faits matériels prouvant l'assassinat

  • 1 -

    Officiellement le ministre se serait noyé après absorption de Valium. Il a été reconnu scientifiquement qu’on ne se suicide pas au Valium, qui plus est dans 50cm d’eau à 12°. Le diazépam (principe actif du Valium) retrouvé dans le sang de la victime, a pour effet de neutraliser la volonté. Il est souvent utilisé sur des victimes pour commettre des viols et abus de blancs-seings. Aucun tube de comprimés de Valium n’a été retrouvé alors que les analyses ont démontré que la boîte de sucrettes, seule retrouvée sur les lieux n’avait jamais contenu de Valium.

  • 2 -

    Des épitaxies (saignements de nez) sont constatés à la sortie du cadavre de l’eau, ce qui est la preuve de coups portés antérieurement à la mort. Après exhumation à la demande de la famille (16 novembre 1983), la seconde autopsie découvrira des traces de ligature au poignet droit (visible sur les photos de l'identité judiciaire) et deux fractures, une du maxillaire d’un centimètre de large, l’autre au nez, non décrites dans le premier rapport d’autopsie. Les médecins légistes concluent que Robert Boulin a subi des « coups appuyés de son vivant » . Malgré deux fractures à la face et huit hématomes et contre toute logique, aucune trace de sang n’aurait été constatée ni sur le costume ni sur les lieux de la découverte du corps.

  • 3 -

    Le bas du pantalon et les chaussures ne portent aucune trace de boue, alors que Robert Boulin est supposé avoir marché 7 mètres dans un étang profond de 50cm d’eau et 40cm de vase. Contrairement à ce qu’affirme le colonel de Gendarmerie qui était sur place au moment des faits, Madame Anzani, présidente de la chambre d’accusation de la Cour d’appel de Paris (dans son ordonnance de non-lieu en 1992), de sa propre initiative et sans s’appuyer sur aucun dire d’expert, explique l’absence de vase ou de boue par le fait que les pompiers ont trainé le corps sur le sol, ce qui aurait eu pour effet de nettoyer le tout, intérieur des chaussures compris!

  • 4 -

    Les lividités cadavériques sont dans le dos, ce qui est incompatible avec la thèse officielle et la position des membres en « prieur musulman »: elles auraient dû apparaître sur le ventre ou en dessous des genoux, preuve que le corps a été déplacé et que la mort n’a pas eu lieu dans l’étang Rompu.